E-auction 139-78914 - bpv_311663 - PHILIPPUS II Tétradrachme syro-phénicien
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购货人不付费
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估算 : | 180 € |
价格 : | 46 € |
最高出价 : | 49 € |
拍卖结束日期 : | 14 December 2015 15:11:00 |
竞拍人 : | 7 竞拍人 |
种类 Tétradrachme syro-phénicien
日期: 249
铸币厂名称/城市 Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
材质 billon
直径 28,00 mm
模子方针 7 h.
重量 11,07 g.
稀少度 R2
关于品相的说明
Pas d’usure mais surface piquée
出版目录中的项代码 :
家谱
Cet exemplaire, qui provient des doubles de la collection Richard McAlee, est le 0494_006 de la base TSP
正面
正面的说明书 Buste lauré, drapé et cuirassé de Philippe II Auguste à droite, vu de trois quarts en arrière (A*2), quatre globules sous le buste.
正面铭文 AUTOK K M IOUL FILIPPOS SEB, (Autokratoros Kaisaros Markos Ioulios Filippos Sebastos)
正面的翻译 (L’empereur césar Marc Jules Philippe auguste).
背面
背面的文字 ANTIOXIA / S|C À L’EXERGUE.
背面的说明书 Aigle debout à gauche, les ailes largement déployées, tête à gauche et queue à droite, tenant une couronne feuillée dans son bec.
背面铭文 DHMARC - EX OUSIAS UPATOD
背面的翻译 (Revêtu de la puissance tribunitienne / Consul pour la quatrième fois / avec l’accord du Sénat d’Antioche).
评论
Ces frappes à marques d’officines sont la fin des émissions pour Philippe père et fils, simplement parce que cette même méthode se poursuivra sous le règne de son successeur, Trajan Dèce, alors qu’elle n’existe pas avant le quatrième consulat de Philippe.
Le marquage des officines se fait par points sous le buste, de un à quatre, mais il est possible, au style, de penser que ces émissions comportent aussi une officine sans point. Cette question se réglera, comme tant d’autres, par une reconstitution des chaînes de coins qui montrera, ou non, une série particulière, sans point, du même style de gravure des bustes que les frappes avec points.
Le classement des bustes avec deux points sous la cuirasse, qui se trouvent tant pour le père que pour le fils, dans cette série à officines indiquées, est pratiquement certain. Les arguments en faveur sont la faiblesse des émissions de Philippe père, pour la deuxième officine, avec le buste standard ; on peut donc penser que la production de cette officine a été répartie entre les deux types de bustes alors que celles des autres se concentraient sur des bustes standards, laurés, drapés et cuirassés à droite.
Pour le fils, les émissions avec deux points sous la cuirasse viennent peut-être compléter les émissions de cette officine à buste standard car, là, ce sont les frappes avec aigle à droite qui sont inconnues et n’existent peut-être pas.
Ces émissions sont fort rares et précèdent certainement de très peu la chute des Philippe. On ne peut pas déterminer actuellement le motif de cette réorganisation, peut-être à réfléchir en comparaison avec les frappes d’antoniniens.
Curieusement, elles sont peu présentes en musées, ou d’acquisitions récentes. Aucun exemplaire n’est référencé dans le BMC et il semble que sans les trouvailles de Doura, l’émission serait restée ignorée.
Dès que Philippe II est proclamé auguste, il utilise toujours les titres de son père au revers mais encore adopte sa titulature de droit. Les collectionneurs débutants ont d’ailleurs des difficultés à distinguer le père du fils ; la règle est simple : le père a toujours une ride qui barre le front, le fils toujours un front lisse.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont deux en musées, British Museum (entrée en 1991) et Yale ( ex Doura).
Le marquage des officines se fait par points sous le buste, de un à quatre, mais il est possible, au style, de penser que ces émissions comportent aussi une officine sans point. Cette question se réglera, comme tant d’autres, par une reconstitution des chaînes de coins qui montrera, ou non, une série particulière, sans point, du même style de gravure des bustes que les frappes avec points.
Le classement des bustes avec deux points sous la cuirasse, qui se trouvent tant pour le père que pour le fils, dans cette série à officines indiquées, est pratiquement certain. Les arguments en faveur sont la faiblesse des émissions de Philippe père, pour la deuxième officine, avec le buste standard ; on peut donc penser que la production de cette officine a été répartie entre les deux types de bustes alors que celles des autres se concentraient sur des bustes standards, laurés, drapés et cuirassés à droite.
Pour le fils, les émissions avec deux points sous la cuirasse viennent peut-être compléter les émissions de cette officine à buste standard car, là, ce sont les frappes avec aigle à droite qui sont inconnues et n’existent peut-être pas.
Ces émissions sont fort rares et précèdent certainement de très peu la chute des Philippe. On ne peut pas déterminer actuellement le motif de cette réorganisation, peut-être à réfléchir en comparaison avec les frappes d’antoniniens.
Curieusement, elles sont peu présentes en musées, ou d’acquisitions récentes. Aucun exemplaire n’est référencé dans le BMC et il semble que sans les trouvailles de Doura, l’émission serait restée ignorée.
Dès que Philippe II est proclamé auguste, il utilise toujours les titres de son père au revers mais encore adopte sa titulature de droit. Les collectionneurs débutants ont d’ailleurs des difficultés à distinguer le père du fils ; la règle est simple : le père a toujours une ride qui barre le front, le fils toujours un front lisse.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont deux en musées, British Museum (entrée en 1991) et Yale ( ex Doura).