E-auction 611-590295 - HENRY IV Jeton ou médaille frappé sous Louis XVIII n.d.
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购货人不付费
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种类 Jeton ou médaille frappé sous Louis XVIII
日期: n.d.
材质 red copper
直径 21 mm
模子方针 12 h.
重量 5,75 g.
侧面 lisse
稀少度 R3
出版目录中的项代码 :
正面
正面的文字 HENRI IIII R. DE. FRAN. ET. NAV. A..
正面的说明书 Buste à droite de Henri IV, type Guéant-Prieur 40.
背面
背面的文字 SVA. CIRCVIT. ORBE. FAMA.
背面的说明书 La Renommée debout de face, tenant une palme de la main droite et sonnant de la trompette.
背面的翻译 Sa renommée parcourt la terre.
评论
Ce buste est de toute rareté. Notons d’abord que les auteurs du Guéant-Prieur n’ont pu en trouver un exemple et reproduisent dans leur ouvrage le moulage des planches du Feuardent.
On le retrouve dans les doubles tournois sous le type CGKL 222. Il est plausible que le graveur d’origine soit Nicolas Briot mais la qualité de la frappe, la qualité de la tranche, les poinçons de lettre utilisés, la patine uniforme indiquent qu’il s’agit d’une fabrication du début XIXe, sous Louis XVIII (ce qui explique l’absence de poinçon). Ce roi, préoccupé d’être mal aimé, chercha à se rapprocher de l’image de Henri IV et des médaillettes commémoratives furent frappées.
Il est plus plausible que celle-ci fasse partie de cette production, bien qu’elle soit extrêment rare et que Feuardent ne la référence pas comme refrappe mais bien comme Henri IV normale.
Frédéric Droulers référence ce genre de fabrication dans son ouvrage sur les monnaies royales sans faire mention d’une fabrication XIXe mais nous préférons nous en tenir à ce point de vue.
On le retrouve dans les doubles tournois sous le type CGKL 222. Il est plausible que le graveur d’origine soit Nicolas Briot mais la qualité de la frappe, la qualité de la tranche, les poinçons de lettre utilisés, la patine uniforme indiquent qu’il s’agit d’une fabrication du début XIXe, sous Louis XVIII (ce qui explique l’absence de poinçon). Ce roi, préoccupé d’être mal aimé, chercha à se rapprocher de l’image de Henri IV et des médaillettes commémoratives furent frappées.
Il est plus plausible que celle-ci fasse partie de cette production, bien qu’elle soit extrêment rare et que Feuardent ne la référence pas comme refrappe mais bien comme Henri IV normale.
Frédéric Droulers référence ce genre de fabrication dans son ouvrage sur les monnaies royales sans faire mention d’une fabrication XIXe mais nous préférons nous en tenir à ce point de vue.