E-auction 584-539104 - bpv_659118 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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购货人不付费
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估算 : | 60 € |
价格 : | 26 € |
最高出价 : | 31 € |
拍卖结束日期 : | 24 June 2024 15:03:00 |
竞拍人 : | 5 竞拍人 |
种类 Tétradrachme syro-phénicien
日期: 218-220
铸币厂名称/城市 Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
材质 billon
直径 24,5 mm
模子方针 12 h.
重量 11,7 g.
稀少度 R2
关于品相的说明
Monnaie frappée sur un flan court mais bien centrée. Joli revers. Patine grise
出版目录中的项代码 :
正面
正面的说明书 Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
正面铭文 AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB.
正面的翻译 Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
背面
背面的说明书 Aigle aux ailes en ovales verticaux debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne feuillée de laurier dans son bec, une étoile à huit rais entre les pattes.
背面铭文 DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E..
背面的翻译 (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
评论
Les graveurs de revers variés classés entre le Prieur 273 et le 278 essayent de montrer la variété des graveurs de revers pour Elagabal. En ce qui concerne le Prieur 276, il semble d’un graveur unique pour le revers, qui pourrait rappeler certains revers d’Arados sous Caracalla. Ces graveurs ont manifestement réalisé quelques coins de revers, un seul parfois, comme le Prieur 274, alors que le droit est d’un graveur connu.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, sept exemplaires sont maintenant répertoriés.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, sept exemplaires sont maintenant répertoriés.