E-auction 97-50711 - bpv_305452 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien
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购货人不付费
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估算 : | 60 € |
价格 : | 25 € |
最高出价 : | 25 € |
拍卖结束日期 : | 23 February 2015 16:04:00 |
竞拍人 : | 6 竞拍人 |
种类 Tétradrachme syro-phénicien
日期: 214-215
铸币厂名称/城市 Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
材质 billon
直径 25,00 mm
模子方针 11 h.
重量 12,93 g.
关于品相的说明
Nettoyage rude au droit
出版目录中的项代码 :
家谱
Cet exemplaire est le 0217_137 de la base TSP
正面
正面的说明书 Tête laurée de Caracalla à droite, avec une barbe fournie et une moustache tombante, l’un des rubans de la couronne de laurier passant sur l’épaule.
正面铭文 AUT K. M. A.- .ANTWNEINOS S-EB (Autokrator Kaisar Markos Aurhlios Antwneinos Sebastos)
正面的翻译 (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).
背面
背面的说明书 Aigle à gauche, ailes écartées, tête et queue à droite, tenant un cuissot d’animal sacrificiel dans ses serres, souris à droite, et une couronne de lauriers dans son bec.
背面铭文 DHMARC. EX. UPATO. D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D)
背面的翻译 (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).
评论
Nous entrons avec cette émission - caractérisée par l’absence du Delta Eta au revers - dans les frappes massives de la préparation à la guerre parthique, voire aux débuts de la campagne. La qualité de gravure et de frappe est toujours bonne, voire très bonne, mais l’empereur commence à voir son portrait vieillir et les rides épaisses qui marquent son front sur cet exemplaire en sont une bonne illustration.
On peut raisonnablement penser que les graveurs ont voulu exprimer la personnalité autant que l’aspect réel - l’empereur n’a que 26 ans - en exagérant ces traits. On peut aussi penser que la vie de débauche dont son père avait essayé de l’extraire, par exemple en organisant une campagne un peu superflue en Bretagne, l’a profondément marqué.
Le rictus dédaigneux que l’on voit à l’empereur sur de nombreux exemplaires et qui accentue son aspect brutal semble être en réalité la pointe de la moustache que Caracalla portait apparemment tombante.
Ces émissions sont datées du quatrième consulat mais sont radicalement différentes, de style de revers et de style de portrait, de la première émission du quatrième consulat (Prieur 216), que nous avons laissée avec celles du troisième, dans le groupe des frappes aux deux étoiles.
Là encore, comme sous Domitien, dont les émissions, bien datées, permettent de juger des changements de graveurs, on constate que d’une année (Prieur 216) à l’autre (Prieur 217) nous ne trouvons plus le même graveur et pouvons supposer une réorganisation radicale. Cette réorganisation, si elle a permis une très forte augmentation de la production, n’a pourtant pas nécessité plus d’un graveur, l’homogénéité des exemplaires répertoriés est remarquable, à une poignée d’exceptions près. Là encore, on peut penser que l’organisation de l’atelier d’Antioche ne requérait pas un graveur inamovible mais, selon des méthodes qui nous resteront toujours inconnues, concours, fermage ou adjudication, l’attribution du poste, pour des durées variables, à des artistes différents.
On note que les sigma sont gravés en C.
À noter que Richard McAlee ne différencie pas les styles et variantes de légendes et regroupe les Prieur 217, 218 et 219 sous la référence 677
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, deux cent quatorze exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées ANS (10), Paris (10), Berne (2), Yale, Jérusalem (2), Israel State Museum (4) et Copenhague.
On peut raisonnablement penser que les graveurs ont voulu exprimer la personnalité autant que l’aspect réel - l’empereur n’a que 26 ans - en exagérant ces traits. On peut aussi penser que la vie de débauche dont son père avait essayé de l’extraire, par exemple en organisant une campagne un peu superflue en Bretagne, l’a profondément marqué.
Le rictus dédaigneux que l’on voit à l’empereur sur de nombreux exemplaires et qui accentue son aspect brutal semble être en réalité la pointe de la moustache que Caracalla portait apparemment tombante.
Ces émissions sont datées du quatrième consulat mais sont radicalement différentes, de style de revers et de style de portrait, de la première émission du quatrième consulat (Prieur 216), que nous avons laissée avec celles du troisième, dans le groupe des frappes aux deux étoiles.
Là encore, comme sous Domitien, dont les émissions, bien datées, permettent de juger des changements de graveurs, on constate que d’une année (Prieur 216) à l’autre (Prieur 217) nous ne trouvons plus le même graveur et pouvons supposer une réorganisation radicale. Cette réorganisation, si elle a permis une très forte augmentation de la production, n’a pourtant pas nécessité plus d’un graveur, l’homogénéité des exemplaires répertoriés est remarquable, à une poignée d’exceptions près. Là encore, on peut penser que l’organisation de l’atelier d’Antioche ne requérait pas un graveur inamovible mais, selon des méthodes qui nous resteront toujours inconnues, concours, fermage ou adjudication, l’attribution du poste, pour des durées variables, à des artistes différents.
On note que les sigma sont gravés en C.
À noter que Richard McAlee ne différencie pas les styles et variantes de légendes et regroupe les Prieur 217, 218 et 219 sous la référence 677
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, deux cent quatorze exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées ANS (10), Paris (10), Berne (2), Yale, Jérusalem (2), Israel State Museum (4) et Copenhague.